Il est vrai que le contexte est très difficile, que les esprits et le moral sont épuisés, mais nous ne lâcherons rien.
En juin dernier, la galerie organisait une manifestation ou plus exactement une marche silencieuse pour : l’EN/VIE, pour susciter le regard et le partage.
Ce groupe, EN/VIE, né au milieu d’un chaos sanitaire et social, est le fruit de l’amour partagé, dans un seul but : EXISTER.
Né, pour constater, que l’art est en VIE !
À Toulouse !
Ces premiers pas ont foulé les pavés de la ville rose et se sont arrêtés sur la place du Capitole.
Sans un mot encore, il s’est présenté aux Toulousains.
L’envie de REVOIR, ou VOIR une nouvelle façon d’exister !
Marche silencieuse du 19 juin 2020
Photos de Laurent Avizou et Patrick Betbeder
Mais en tout état de cause, nous souhaitons tous, rire, créer, et aimer.
L’art est en pleine crise !
Les artistes ont besoin de montrer leur travail !
Révoltés ou pas, nous sommes tous ensemble pour constater que le sourire s’est effacé des visages.
Retrouver nos sens existentiels :
La Parole,
Le Regard,
Le Toucher,
Le Goût,
Le Son,
Jamais, nous aurions pensé que le port d’un simple masque effacerait autant d’espoir.
Car aujourd’hui, ce n’est plus l’espoir de vaincre un virus qui partage notre nature, mais l’espoir de garder en vie notre essence même.
Cette source qui coule en nous tous,
celle que personne ne peut raisonner,
celle qui animalement se livre à la plus magnifique des création,
L’Envie !
Alors pour garder cette lueur, et la passer de main en main, de regard en regard, de sourire en rire…
L’art est présent !
Aussi, durant cet été, la galerie a changer son site et par la même occasion, nous avons élaboré de nouvelles formules pour garder l’étincelle de l’art.
Afin de ne priver personne et de préserver les règles du protocole sanitaire en vigueur, nous avons trouvé de magnifiques moyens pour vous faire parvenir l’envie et l’art à la maison ou sur votre lieu de travail.
2 commentaires sur “Nous ne lâcherons rien.”
Merci pour ce message , en soutient aux artistes .
Bravo à Claude Barrère pour la sensibilité de ses mots.
Merci Sylvie