L’echelle de soi
Dromard galerie 21

” Des couleurs diaprés, au velours de lumière s’abandonnent au fil des perspectives d’Anny Dromard.
Non loin du sultan Saladin, Venise ouvre ses portes.
Du rouge à l’orangée elle se farde pour la nuit.
Bleu profond, mire et reflète les canaux de la lagune.
Piccolos, et clarinettes glorifient les derniers gondoliers, en partance vers l’âme sœur.
Tandis que tintent les éclats aux feux cristallins, la peinture arrive jusqu’à moi en une symphonie joueuse et radieuse.
Je parcours les rues, traverse les ponts et arpente les places pour te rejoindre.
Tu m’attends ? ”

Rossini avait 20 ans quand il composa L’Échelle de soie

Un sujet très à la mode que Rossini composa : un mariage secret. Le marié clandestin monte à la fenêtre de sa jeune épouse par une échelle de soie, qu’elle accroche tous les soirs à son balcon.

Ce sujet, déjà traité,  dans un opéra de Paisiello avait enchanté la fin du 18ème siècle et le début du 19ème.
L’échelle de soie arrive tout droit d’un petit opéra comique français, musique de Gaveaux, représentée à Paris en 1808.

Déjà cette pièce s’inspirait d’un autre opéra français de la fin des années 1760, lui-même dérivé d’une pièce anglaise d’après les peintures de William Hogarth.

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