Avoir un correspondant presse avec autant de mots sur l’art, est une chance !
À chacun de ses articles dans La dépêche nos artistes ont été touchés par la justesse des écrits d’Emmanuel.
C’est en 2015 que nous avons croisé le chemin de ce reporter.
Nous ne savions pas comment parler de la Galerie, c’est toujours très difficile de parler de ce qui nous touche.
Et pourtant il y a des hommes dont la vocation est de savoir raconter. Emmanuel fait partit de ceux là.
C’est ce court laps de temps d’une entrevue, ou Emmanuel Vaksmann, subtilise à l’artiste, cet instant ou tout bascule et se livre entièrement ou presque.
Et c’est alors que la magie opère ou plutôt la maîtrise professionelle d’un journaliste, celui dont enfant nous rêvions de devenir, celui qui parle aux plus grands mais aux plus petits aussi, et qui ne trahit ni l’un ni l’autre.
Emmanuel aime s’assoir à coté de nos artistes prendre le temps de les écouter de les laisser exprimer leur passion.
Car en effet ils sont parfois très demandeur de partage, d’autres plus discrets, il arrive malgré tout à trouver la faille, et entrouvre la porte pour ressentir les émotions.
Il les écoute, s’interroge, questionne et observe. Tout en douceur et simplicité il leur permet de parler de cet art de ces oeuvres douloureuses et intimes.
Avec toute la prudence et l’humilité dont fait preuve ce journaliste il retranscrit l’exactitude d’une interview mais plus encore, la sensibilité cachée de chaque artiste.
Il écrit comme il est ! Sans contour, juste, et fidèle à ses impressions.
Emmanuel ne juge pas, ne commente pas, il consigne uniquement les paroles de ces personnages si complexes.
Et le plus beau cadeau que l’on peut lui faire, c’est lui dire que nos artistes sont fiers de ses mots.
Merci Emmanuel !