Je ne crois pas à l’inspiration mais au travail de tous les jours.
Je dessine, je barbouille, je découpe,
‘je colle… je fais un très long travail de préparation… puis je choisis les choses qui me plaisent.
Je n’ai, ensuite, qu’à réaliser… ce qui compte, c’est qu’une idée prenne forme.
PIERRE RIBA
Au moyen-âge, Pierre RIBA se serait fait alchimiste.
Heureusement, il est né au XXeme siècle, car il transmue la matière et ce n’est plus interdit.
Il crée des formes simples et énigmatiques, stèles ou idoles,
masques, fragments symboliques, unions, divorces. Ses formes ont un aspect si lisse, si parfaitement abouti que les grignotages et les lézardes semblent très naturels. Ses sculptures nous sont si proches que lorsqu’on les a vues une fois, on a l’impression de les avoir toujours connues, comme des amies revenues de loin, comme des souvenirs ou des colombes, des chants mélodieux familiers, tant l’harmonie les dressent face à nous, humbles et humaines.
Georges Chich
Jeux en noir
Pierre Riba recourt a du carton cannelé découpe par lamelles. qu’il assemble avant de les tremper dans de la résine qui durcit le matériau, recouvert en suite d’une poudre de graphite.
Le carton garde aussi sa teinte originelle beige. pour interroger
différemment l’absorption lumineuse. Voilà pour les explications d’une technique que l’artiste maitrise admirablement. et ou met au service d’un langage inventif par ses formes géométriques aux réminiscences tribales. La complicité du maillage renforce la rigueur au service d’une lisibilité formelle, en prise sur notre imaginaire. Ses sculptures murales affectent des formes simples. d’un archaïsme ritualiste, tels les masques d’une tribu imaginaire ou encore les lettres d’un alphabet oublié. L’efficacité de ces volumes pleins, jouant avec les alvéoles qui absorbent la lumière, déplace le jeu vers une réflexion mystique. La forme se fait signe, l’œuvre, d’essence totémique, engendre un mystère qui outrepasse la simplicité de la représentation. Totems d’une ère nouvelle, celle de l’emballage et du formaté, ces reliefs muraux et ces sculptures prennent possession de l’espace, transcendent un minimalisme en interrogeant la lumière qui traverse les strates, les caresse, s’y attarde et s’y perd, pour un dialogue hors du temps
Lydia HARAMBOURG
Perpignan
Paris
Avignon
Collection de la Praye-Villefranche Saone
Fareins
Mougins
Cannes
Bordeaux
Luxembourg
Bâle
Marseille
Art Paris
Art Elysées
Art Karlsruhe, Allemagne
Art Saint-Germain-des-Près
Lille Art fair
Art Gent,
Belgique St’Art,
Strasbourg
ses œuvres sont présentes dans les centres d’Art et fondations :
De la Praye, Fareins, Villefranche, S. Saone Valréas Musée, Vaucluse Les Landes Blanches, Les Soriniéres, Nantes Villa Datris, fondation pour la sculpture contemporaine
L’isle sur la Sorgue, Vaucluse Fondation Renaud, Lyon Honoré 91, Paris Orangerie du Sénat, Paris Région Languedoc-Roussillon, Montpellier Département de l’Aveyron, Rodez Centre d’Art de Conques, Aveyron Colección de Arte de la Pera, Girona, Espagne
Parc-Arts contemporânies, Cassà de la Selva, Espagne et dans des collections publiques et privées en Allemagne, Angleterre, Belgique, Espagne, Portugal, Suisse, USA….