Graff-Galerie-21
Graff Michel

Biographie de l'artiste

Michel Garaff est né à Paris en 1938, il vit et peint à Draveil (Essonne)
1959 Diplôme des Arts Appliqués Paris
1961 Professorat de dessin d’Art de la Ville de Paris
1966 à 1968 Fréquente l’atelier de peinture Jac Adam – Issy les Moulineaux
2010 Fondation de France – Lauréat Prix Charles Oulmont

Techniques principales : acrylique sur toile, technique mixte et encre de chine sur papier.

« La peinture est un moyen d’expression parmi tant d’autres, l’essentiel est d’avoir quelque chose à partager. Tout naturellement et depuis for(t longtemps j’ai appris ce métier qui m’a conduit de la figuration vers l’abstraction.

La constante remise en question anime un perpétuel esprit de recherche. Il est aisé d’étaler de la « pâte » colorée sur un support, cela devient complexe quand elle a pour mission de traduire les passions humaines.

Cette situation reste très inconfortable mais tellement exaltante. La composition, la couleur; les rythmes, l’équilibre, la lumière, la matière ainsi que le brin de fantaisie concourent à la réalisation de cette tentative, tout en s’assurant que la technique ne prenne pas l’ascendant sur l’inspiration et la sensibilité. » MG

« En apprenant à voir en lui-même, Michel Graff s’exerça avant tout à voir à partir de lui-même et c’est probablement de cette façon qu’il prit conscience que l’objet pouvait nuire à ses tableaux. »

Peintre abstrait lyrique, il opère avec une grande sincérité et générosité de la couleur, toujours empreint de poésie voire même d’une certaine innocence celle de cet enfant caché quelque part et qui ressurgit à chaque touché de pinceau.

Le rouge, mais aussi bien le bleu, tous sont là autour d’une lumière parfaitement maîtrisée.

Parfois il joue ! Et nous accorde l’ombre, pour nous permettre de mieux revenir vers la douceur de ses tons chauds.

La palette de Michel Graff, haute en lumière, varie de rouges en bleu et jaunes.

Il nous entraine dans son jeu, celui de l’expression directe, cette improvisation qui perturbe nos théories.

Il pousse même le débat en donnant des noms à ses toiles :

Il convient de distinguer

Jusqu’au bout du pinceau, sa composition structurale contraste avec la liberté de ses touches voluptueuses et charnelle.

Paris
Chavignol
Villiers Draveil
Carla Baye
Courtenay
Vigan
Conilhac
Caire
Caen
Seloncourt
St Spire Corbeil
Trizay
Madrid

Ses Œuvres
Vingt mètres plus bas
Je reviendrai
La bouée
Les herbes folles
Le troubadour
Hellène
Le coup de vent
Le beau parleur
Repu et satisfait
Venise en février
Le long du ruisseau
Le discret efficace