Delmas-Galerie21
Delmas Françoise

Biographie de l'artiste

Chaque tableau est pour Françoise, une aventure nouvelle avec ces chaos ou ces plages sereines.

Celui- ci trouve peu à peu son chemin.
Tout comme son parcours en tant que peintre.
Très jeune: « je me vois toujours dessiner ! »

Et plus tard vers quinze ans peindre !
Après des études à ENPC (Ecole Nationale de Photographie et de Cinéma) à Paris, Françoise Delmas travaille dans différents endroits, en particulier dans un studio de mode où elle a pu concevoir et peindre quelques décors.

En parallèle, tout en travaillant le mime chez Marcel Marceau, elle fréquentait régulièrement l’Académie de la Grande Chaumière à Paris.

Peu à peu cette activité de peintre s’est imposée avec la découverte de nombreux artistes.

Tout en travaillant la gravure dans l’atelier de Roger Marage, sa peinture, au début plutôt figurative, s’est tournée assez rapidement vers l’abstraction grâce à la fréquentation assidue de galeries parisiennes.

Après quelques années de diverses expositions, dont le salon abstrait des Réalités Nouvelles, Françoise Delmas est entrée au Comité de sélection de ce dernier.

« Je ne me définirais pas en tant qu’artiste – je fais de la peinture, des images.
Des images qui tentent de traduire une expérience extérieure ou intérieure personnelle.
Ainsi chaque oeuvre est une nouvelle aventure, une sorte d’histoire vécue lors de son exécution, un discours ouvert, pictural et sans message, et proposé à celui qui regarde afin qu’il puisse y retrouver son propre imaginaire ». Françoise Delmas

« les passages des couleurs et des formes créent des variétés et donnent une espèce de tremblement au tableau, une qualité de silence, de détente où l’on sent une possibilité de promenade? »
Michel Chapuis ( Peintres et Ateliers ? France-Culture ? 1988 )

« … la couleur proche de celle de Geer van Velde, Szenes ou Seiler, avec ses gris, ses ocres, ses bleus évanescents, subtils, discrets, tout en nuances et ses signaux de rouges trouant les bleus sombres et opaques de la nuit… »
Pierre Brisset – ( L’Oeil – 1988 )

« … attentive à des supports comme le papier marouflé, la toile de lin ancienne ou le bois ainsi qu’à des matériaux comme l’huile, l’acrylique et l’encre typographique, elle est à même de laisser monter d’une substance particulièrement bien travaillée une fluidité dont elle ménage les rythmes.
L. Harambourg » ( La Gazette de Drouot – 2002 )

« … l’évocation de souvenirs de voyage en Afrique, en Inde ou en Afghanistan le dispute au rapport de formes lisibles données sans explication, jamais vraiment abstraites. »
Alain Pizerra

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Ses Œuvres
Silence des Agneaux
Sang noir
Le festin des meduses
Chemin faisant 1977
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