Biographie de l'artiste
Jean-François Conta est né à Caen (Normandie) en 1961
Engagé dans la peinture à l’âge de 17 ans, il intègre l’Ecole supérieure des arts modernes de Paris. Son travail est alors présenté lors de ses premières expositions parisiennes.
Les invitations, au sein de lieux prestigieux, se multiplient rapidement et viennent alimenter ses convictions et son insatiable boulimie de travail.
Il expose ses travaux dans de nombreuses villes, plusieurs prix viennent souligner l’importance de son travail qui figure dans diverses collections en France et à l’étranger.
Il se voit récompensé lors d’une exposition internationale du prix du secrétariat à la jeunesse et à la culture .
– En 1987, il fonde l’Atelier Conta, école de dessin et peinture à Caen.
Il enseigne le dessin et la peinture aux enfants et aux adultes, en initiation et perfectionnement, et prépare les jeunes aux études supérieures artistiques (architecture, design, stylisme, illustration)
Il dirige toujours, à ce jour, L’Atelier Conta.
Il travaille depuis 2 ans sur le thème des nocturnes, notamment celles des jardins du paradis et sur » entre chien et loup ».
Deux de ses passions se retrouvent dans ses toiles : ses lieux de pêche et les jardins.
Il ouvre parfois des parenthèses sur d’autres sujets comme Narcisse ou le Christ qui seront également présentés au Cloître de l’abbaye aux Dames à Caen, lors de son exposition organisée par la Région Normandie du 05 juillet au 27 août 2023 .
L’exposition rétrospective, sous le haut patronage de Jean-Marie Girault-maire de Caen – où l’ODACC acquiert une de ses toiles.
» la jeune femme africaine » intègre la collection privée de l’ancien président de la république du Sénégal, Léopold Sedar Senghor .
L’UNESCO acquiert également une de ses toiles .
Il se voit récompensé lors d’une exposition internationale du prix du secrétariat à la jeunesse et à la culture .
» C’est un homme élancé aux mains marbrées de noir. Non, elles ne sont pas sales. Mais elles portent des traces de peinture, d’autant plus difficiles à enlever qu’elles sont recouvertes de vernis, fraîchement passé juste avant l’enregistrement de l’émission Bavette normande.
« C’est un honneur d’avoir les mains sales. Ce sont les traces du travail » explique Jean-François Conta. Le peintre installé à Caen (Calvados) s’est remis à peindre durant la pandémie, après une pause de 16 années.
« Je n’avais plus rien à raconter »
Jean-François Conta a vécu ce que l’on appelle le phénomène de la page blanche chez les écrivains. « À un moment donné, je n’avais plus rien à raconter. Je me suis arrêté et j’ai essayé de vivre. Ce n’est pas facile. La peinture prend beaucoup de notre temps, de notre esprit. Je suis sorti, j’ai rencontré des amis, je suis allé au cinéma » raconte le peintre à Jacques Perrotte sur le plateau de l’émission Bavette normande. Durant cette période, il continuait à animer son école de peinture et de dessin à Caen.
Lorsque la pandémie de Coronavirus s’est déclenchée, son atelier a dû fermer. C’est alors qu’il se remet à peindre. Après quatre mois d’errance, naît une toile qui correspond à son histoire. L’aventure « Nocturne des jardins du Paradis » démarre. »
» Voir Jean-François Conta peindre est un moment intense. L’artiste se lance dans un combat physique avec la toile. Il peint entre deux et cinq heures du matin. Seule la lumière d’une lampe frontale balaye la toile. Il ébauche son tableau, toujours un grand format, avec un fusain puis démarre le travail avec une spatule de plâtrier.
« La peinture, c’est quelque chose de très sérieux. On vit avec chaque jour et chaque nuit. On est face à l’œuvre. Et c’est un combat pour essayer d’être en harmonie entre notre histoire, notre tête et notre main » précise-t-il. » Marc Moiroud-Musillo dans l’Émission Bavette normande France 3
- Galerie Art 6 ou le caricaturiste Gébé acquiert une de ses premières toiles
- Maison Rouge ( Paris)
- Caroline S
- Eglise de la Madeleine ( Paris)
- Mylène Vignon.
- Galerie de la Deutsche Bank (Paris)
- Alain Bougrain Dubourg président de la LPO .
- Galerie du Continental à Doha (Qatar)
2023, Vente aux enchères Drouot, par maître Mercier le 13 mai, hôtel des ventes de Lille de sa toile ‘ la foule’.
Acquisition de la Région Normandie de l’un de ses diptyques (Les jardins du paradis)
Janvier 2024, son travail sera présenté au musée Bellini à Florence.
Mars 2024, exposition à la galerie Il Leone à Rome
Acquisition du FRAC Normandie ( Fond régional d’art contemporain) de l’un de ses diptyques ( les jardins du paradis) .
janvier 2025, exposition à la galerie du canal St Martin à Paris …
Avec le soutien de la région Normandie, son travail sera présenté en 2027 au Palais des Normands à Palerme à l’occasion du millénaire de la région Normandie.